Nouveau président Lee Jae Myung: Comment il veut changer la Corée du Sud!

Nouveau président Lee Jae Myung: Comment il veut changer la Corée du Sud!
Südkorea - Lee Jae Myung, le chef de l'opposition de gauche en Corée du Sud, a remporté les élections présidentielles avec 49,2% des voix. Son challenger, Kim Moon Soo du People Power Party (PPP), a atteint 41,4% des voix. Ce choix est classé comme pionnier pour l'avenir du pays, car Lee devrait changer considérablement le cours de la politique économique, de la politique étrangère et des questions nationales. [ZVW] rapporte que la population exige un départ des mesures autoritaires de l'ancien président Yoon Suk Yeol, qui avait proclamé la loi de guerre il y a six mois et a donc mis en danger la démocratie en Corée du Sud.
Lee Jae Myung jurera mercredi en tant que nouveau président et possède de vastes pouvoirs de pouvoir. Cependant, son mandat est limité à cinq ans, une élection n'est pas possible. Lee, qui a grandi dans de mauvaises conditions et a travaillé dans des usines dans des conditions d'exploitation dans sa jeunesse, est considérée comme un véritable étranger en politique. Il s'est également profilé en tant qu'avocat des droits de l'homme et a été le premier politicien à appeler à un revenu de base inconditionnel en Corée du Sud. Dans la campagne électorale, Lee a adapté ses postes pour gagner des électeurs du centre politique. [Süddeutsche] décrit comment sa popularité a augmenté au cours de la campagne électorale après avoir eu lieu contre les mesures politiques mouvementées et souvent déstabilisées de Yoon.
Divisions sociales et défis politiques
La Corée du Sud est actuellement confrontée à des défis sociaux importants. Les camps politiques, les sexes et les générations sont fortement polarisés. Le cadre économique est également tendu, avec une baisse du produit intérieur brut au dernier trimestre et les tarifs imminents des États-Unis. Lee Jae Myung prévoit une approche diplomatique de la Corée du Nord et souhaite améliorer les relations avec la Chine sans mettre en danger l'importante alliance de sécurité avec les États-Unis. [ZVW] souligne que Lee a été critiqué pour son attitude réservée envers la Russie dans le passé.
Lee, qui était le maire précédent de Seondnam et gouverneur de la province de Gyeonggi, cherche le président depuis huit ans. Son chemin vers la présidence a été caractérisé par des revers, dont une défaite étroite contre Yoon Sultan lors des élections de 2022. Après l'élévation de Yoon, le PPP est sous une pression considérable, et il n'est pas clair s'il est capable de se distancier du passé stressant. [Süddeutsche] mentionne les procédures de corruption contre Lee, qu'il a contestées et qui pourrait remettre en question son aptitude à la présidence.
Regardez l'avenir
Le prochain défi pour Lee sera de surmonter une division sociale importante et de faire face à la crise de l'État. Jusqu'à récemment, la Corée du Sud était considérée comme l'espoir de la démocratie, mais les rapports actuels classent le pays comme un "pays autocratique". Selon un rapport de l'Institut de recherche suédois V-DE, la Corée du Sud est sur le point de classer la catégorie "autocratie électorale". [FR] décrit la mise en œuvre des partis satellites, qui réforme les défis de l'institution politique et remet finalement en question l'avenir de la démocratie.
Dans l'ensemble, il reste à voir comment Lee peut changer le paysage politique de la Corée du Sud et gérer les défis à venir. Les nouvelles élections pourraient être considérées comme un tournant dans l'histoire de la démocratie sud-coréenne - mais dans la société, il y a encore de nombreuses questions à clarifier et à résoudre des problèmes afin de parvenir à une compréhension durable de la démocratie.
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