La Bavaria se présente l'alarme: de nouvelles règles pour les malades mentaux après une attaque au couteau!

La Bavaria se présente l'alarme: de nouvelles règles pour les malades mentaux après une attaque au couteau!

Aschaffenburg, Deutschland - Après l'attaque au couteau à Aschaffenburg, le gouvernement de l'État bavarois prévoit de resserrer la loi Menania-Hilfe-Aid (Psychkhg). Le Premier ministre Markus Söder a annoncé que de nouvelles réglementations pour l'hébergement de personnes malades mentales étaient en cours d'élaboration. Cette décision suit les événements qui ont provoqué une sensation et qui sont discutés du point de vue sociaux.

Quatre mois après l'incident, un groupe de travail sous la direction du ministère des Affaires sociales vérifie les mesures pour prévenir la violence par des personnes malades mentales. Cet examen est destiné à vous aider à mieux comprendre les risques basés sur un très petit groupe de personnes malades mentales qui présentent un risque accru d'actes de violence en raison de maladies graves et souvent en collaboration avec l'abus d'alcool et de drogues.

Une repensation de la procédure

Le ministère des Affaires sociales souligne que les personnes malades mentales ne sont généralement pas plus dangereuses que le grand public et qu'elles sont souvent victimes de violence elles-mêmes. Dans ce contexte, l'échange entre les autorités de sécurité est également discuté. Klaus Holetschek, leader du groupe parlementaire de la CSU, appelle à un logement forcé plus simple et à un échange de données de santé plus facile entre les autorités. Cependant, ces suggestions rencontrent des critiques.

L'Association fédérale des parents malades des parents (BAPK) met en garde contre la stigmatisation et se rend aux politiciens pour assurer des soins décents aux personnes malades mentales. Heike Peterseit-Zipfel, président provisoire du BAPK, exhorte à éviter les demandes réfléchissantes de plus de dureté.

La discussion sur la sécurité et les soins

Le débat sur le traitement des personnes malades mentales soulève des questions sur la politique de migration. L'attaque au couteau pourrait éventuellement avoir un impact sur la façon dont les personnes atteintes de malades mentales sont traitées en Allemagne. Bien que Klaus Holetschek souligne que toutes les personnes atteintes de maladies mentales ne devraient pas être stigmatisées, il exige également un meilleur échange de données pour accroître la sécurité. Cela conduit à un domaine de tension entre les droits de liberté des personnes touchées et les intérêts de sécurité de la société.

Le psychiatre Peter Brieger commente sceptiquement l'application prévue de la loi et souligne qui aide les offres et mieux prendre soin de résoudre le problème. En particulier, il avertit que les temps d'attente actuellement longs pour les traitements psychiatriques doivent être améliorés, tandis que le traitement forcé doit être approuvé par le jugement afin de se conformer au cadre juridique.

Stigmatisation comme problème central

Un autre sujet central de la discussion est la stigmatisation continue des personnes malades mentales. Un livre du psychiatre de l'ULM Nicolas Rüsch aborde les conséquences de la discrimination et de la marginalisation de grande envergure et offre des instructions complètes pour diverses parties prenantes, y compris les malades, les parents et les spécialistes. Ce travail standard essaie de promouvoir un discours scientifique sur le problème et en même temps être compréhensible pour les profanes.

Les réactions politiques et sociales aux maladies mentales montrent à quel point il est important de faire de la publicité dans la société de compréhension et d'acceptation pour assurer un traitement et un soutien adéquats aux personnes touchées.

Pour plus d'informations, voir: pnp , br , et ärzteblatt .

Details
OrtAschaffenburg, Deutschland
Quellen

Kommentare (0)