La Russie représente l'ultimatum pour le cessez-le-feu - Ukraine reste sceptique!

La Russie représente l'ultimatum pour le cessez-le-feu - Ukraine reste sceptique!
Istanbul, Türkei - Au Conseil de sécurité des Nations Unies, la Russie, dirigée par l'ambassadeur de l'ONU Wassili Norsja, a déclaré sa volonté de négocier un possible cessez-le-feu en Ukraine. Cette annonce se déroule dans un climat politique tendu dans lequel les deux parties aux conflits, en Russie et en Ukraine ont des perspectives différentes sur les conditions de paix. Numéro a clairement déclaré que les pays occidentaux doivent fixer leurs accouchements d'armes en Ukraine et que l'Ukraine devrait mettre fin à sa mobilisation avant qu'un cessez-le-feu ne soit possible. C'est un point central, car la Russie considère le cessez-le-feu comme une opportunité de travailler sur une solution durable au conflit, tandis que l'Ukraine appelle un cessez-le-feu de 30 jours comme condition préalable aux négociations depuis mars
Le président ukrainien Wolodymyr Selenskyj a déjà appelé à une pause incendie sans priorité. Nombreux, cependant, ont exprimé des inquiétudes que l'Ukraine pourrait éventuellement utiliser le cessez-le-feu pour réorganiser militairement. En outre, il a souligné que les forces armées russes sont toujours prêtes à poursuivre les combats, et on ne sait pas comment ces déclarations auront un effet dans les discussions à venir.
Réactions politiques et influences internationales
La situation politique est également influencée par les évaluations des dirigeants occidentaux. Le président américain Donald Trump a accusé Selenskyj et Poutine pour être têtu et bloquer ainsi les progrès dans le processus d'armistice. Entre-temps, le président turc Recep Tayyip Erdogan a exhorté le chef ukrainien de l'État Selenskyj à participer aux négociations à venir à Istanbul. Erdogan voit la possibilité de conduire le processus de paix grâce à de fortes délégations des deux pays. Jusqu'à présent, cependant, l'Ukraine n'a pas décidé de savoir s'il enverra une délégation à Istanbul.
Au cours des derniers jours, le ministre ukrainien des Affaires étrangères Andrij Sybiha Russie a fortement critiqué et exigé que plus de pression sur Moscou soit exercée. Il souligne la nécessité de sanctions et de soutien accru à l'Ukraine. Cette affirmation est appuyée par un rapport qui souligne que le Sénat américain prévoit des conseils sur les nouvelles sanctions contre la Russie la semaine prochaine.
La situation sur le front
Les rapports actuels de l'Ukraine indiquent également que les forces armées russes du secteur Sumy sont de plus en plus inefficaces et ne peuvent faire aucun progrès significatif. Dans le même temps, des attaques contre Charkiw, au cours de laquelle plusieurs personnes ont été blessées, et l'Ukraine a signalé un incendie majeur après une attaque de drone russe contre Ismail.
Lors d'une réunion du Conseil de sécurité des Nations Unies, Selenskyj avait déjà clairement indiqué que le droit ukrainien à la légitime défense devait être appliqué. Il a décrit les actions russes comme un crime international et a exigé que la Russie ait dû être contrainte à la paix. À cette fin, le ministre chinois des Affaires étrangères Wang est également cité, appelant à des négociations de paix renforcées et a nommé trois principes essentiels pour les négociations: aucune expansion de la zone de bataille, aucune escalade des combats et aucune provocation par les parties impliquées.
Le jeu géopolitique complexe qui se déroule actuellement en Ukraine est toujours influencé par de nombreux facteurs, notamment les décisions stratégiques des nations impliquées et les réactions internationales ultérieures. Bien que les pourparlers à Istanbul soient imminents, il reste à voir si des progrès réels peuvent être réalisés ou si le conflit se produit dans un nouveau niveau d'escalade.
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Ort | Istanbul, Türkei |
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