Günther demande l'interdiction des médias sociaux: protection pour les enfants maintenant!
Günther demande l'interdiction des médias sociaux: protection pour les enfants maintenant!
Le Premier ministre de Schleswig-Holstein, Daniel Günther (CDU), s'est engagé à interdire les médias sociaux pour les enfants de moins de 16 ans. Dans une interview avec "Bild Am Sonntag", il met en garde contre les risques graves auxquels les enfants et les adolescents sont exposés avec un accès incontrôlé à des plateformes telles que Tikok et Instagram. Selon Günther, l'État doit mieux remplir sa fonction de protection pour s'assurer que les jeunes grandissent sans accès à ces médias. Afin de réaliser ce changement de paradigme, une orientation de son association d'État de CDU devrait être décidée à la mi-juin.Günther souligne que les médias sociaux exposent non seulement les enfants à un contenu violent, mais aussi diffuser de fausses nouvelles. De nombreux parents auraient du mal à comprendre les expériences de leurs enfants sur ces plateformes. Le ministre fédéral de l'éducation et de la famille Karin Prien (CDU) soutient également la demande de réglementation efficace de l'âge afin d'assurer la sécurité des jeunes utilisateurs.
Approches internationales de la protection des jeunes
Dans les comparaisons internationales, on peut voir que d'autres pays comme l'Australie prennent également des mesures juridiques. Une loi y a été adoptée qui prévoit une limite d'âge de 16 ans pour certaines plateformes de médias sociaux. En Allemagne, en revanche, le Federal Center for Child and Youth Media Protection (BZKJ) poursuit une approche différente qui se concentre davantage sur les droits numériques des enfants et les obligations de disposition des prestataires. Ce concept est soutenu par l'amendement intégratif de la loi sur la protection des jeunes de 2021, qui prend en compte les principes de la Convention des Nations Unies sur les droits des enfants.
Une interdiction générale de l'accès aux médias sociaux pour les enfants de moins de 16 ans est considérée par de nombreux experts comme trop largement et comme une violation de l'article 17 de la Convention des Nations Unies sur les droits des enfants, qui garantit le droit de participer aux médias et leur utilisation sûre. Au lieu de cela, un examen efficace de l'âge spécifique à la plate-forme est considéré comme raisonnable. La loi sur les services numériques dans l'UE exige que les services numériques soient conçus de manière à ce que les enfants et les adolescents puissent les utiliser en toute sécurité.
le rôle du BZKJ et la responsabilité des plateformes
Le BZKJ a la tâche d'appliquer les droits des enfants dans les services numériques et travaille donc avec les fournisseurs et les experts et les adolescents pour promouvoir une utilisation des médias sûrs. Cette coopération vise à mettre en œuvre des mesures de protection et à soutenir les parents et les spécialistes des écoles et du bien-être des jeunes. L'application des normes pour les mesures de retraite structurelles est également une préoccupation centrale du BZKJ, qui se déroule au nom de la Loi sur la protection des jeunes (JUSCHG).
Les discussions actuelles sur la réglementation des médias sociaux montrent que la protection moderne des médias pour enfants et jeunes est non seulement axée sur la protection, mais aussi sur la qualification et la participation numérique. L'objectif est de donner aux enfants et aux adolescents les outils nécessaires afin de pouvoir naviguer en toute confiance et en toute sécurité dans les habitats numériques.
En fin de compte, il sera crucial de trouver un acte d'équilibrage qui garantit la protection des enfants sans violer leur droit à la participation numérique. welt rapporte Günthers, tandis que des informations complémentaires de "https://www.serviceStelle-Jugendschutz.de/2024/12/debatte-um-social-media-verbot/"> jugendchutz Et le bzkjDetails | |
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Ort | Deutschland |
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