Deuil après un accident vasculaire cérébral : Klützerin se bat pour sa stabilité mentale

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Dagmar Burmeister de Klütz partage son chagrin après la mort de sa mère et cherche du soutien dans le nord-ouest du Mecklembourg.

Dagmar Burmeister aus Klütz teilt ihre Trauer nach dem Tod ihrer Mutter und sucht Unterstützung in Nordwestmecklenburg.
Dagmar Burmeister de Klütz partage son chagrin après la mort de sa mère et cherche du soutien dans le nord-ouest du Mecklembourg.

Deuil après un accident vasculaire cérébral : Klützerin se bat pour sa stabilité mentale

Le 2 novembre 2025, Dagmar Burmeister, 58 ans, de Klütz, a connu un destin émouvant. Elle a vécu la perte tragique de sa mère, âgée de 84 ans, victime d'un accident vasculaire cérébral dans ses dernières minutes. Dagmar était présente lorsque le médecin urgentiste a été appelé et elle s'est assise à côté de sa mère à l'hôpital pour l'accompagner dans les dernières heures. Malheureusement, la mère n'a pas pu parler après l'accident vasculaire cérébral et Dagmar Burmeister a demandé qu'une équipe mourante l'aide. Après la mort de sa mère, elle est tombée dans un profond gouffre émotionnel, même si sa famille était intacte. Cette solitude oppressante peut être comprise par de nombreuses personnes en deuil qui se retrouvent dans des situations similaires.

Les difficultés liées aux adieux à sa mère, ainsi qu'aux funérailles, ont été extrêmement stressantes pour elle. Comme l'a dit Dagmar Burmeister, elle a recherché le soutien de son pasteur et a également reçu le soutien utile de ses collègues. Près d'une autre décennie de la vie s'est écoulée avant que le père de Dagmar, dont la mort était prévisible en raison de l'évolution de la démence, ne décède également. Ces expériences montrent à quel point le processus de deuil peut être intense et difficile.

L’importance du soutien dans le deuil

Dagmar Burmeister souligne l'importance d'obtenir l'aide d'un professionnel pour faire face au processus de deuil. Il existe des services dans la région, comme le Service œcuménique d'hospice, fondé à Wismar en 1998, qui propose des cours de derniers secours. Ces cours fournissent des informations précieuses sur la fin de vie, la mort et les soins palliatifs, permettant ainsi aux familles endeuillées de mieux faire face à leur situation. Dagmar aimerait également avoir un café de deuil où les gens pourraient partager leur chagrin avec d'autres ; car la convivialité peut souvent apporter un grand soulagement.

Un tel café offrirait aux personnes concernées un espace familier pour exprimer leurs sentiments et discuter du thème de la mort. Le travail de soins palliatifs vise à accompagner les personnes dans les moments difficiles et à leur permettre de dire au revoir dignement. Il existe en Allemagne environ 100 services de soins palliatifs et 75 services d'aide aux personnes en deuil qui proposent un soutien à toutes les tranches d'âge. Les Maltais en particulier se sont emparés de cette question importante et s'engagent à réduire les peurs et à offrir aux mourants et à leurs familles un espace sensible.

Les expériences de Dagmar Burmeister peuvent tous nous faire réfléchir. En période de deuil, il est essentiel de rechercher du soutien et d’encourager la communication avec d’autres personnes qui ont subi des pertes similaires. Parce qu'avec d'autres, vous pouvez supporter le chagrin plus facilement et trouver un moyen d'intégrer positivement les souvenirs douloureux et d'avancer.