Crèches à MV : La fin de l'exonération des cotisations est-elle imminente ?

Transparenz: Redaktionell erstellt und geprüft.
Veröffentlicht am

Le 17 juillet 2025, le parlement du Land de MV discutera de l'avenir des crèches non contributives, des problèmes de financement et de l'amélioration de la qualité.

Im Landtag MV diskutiert man am 17.07.2025 über die Zukunft der beitragsfreien Kitas, Finanzierungsprobleme und Qualitätssteigerungen.
Le 17 juillet 2025, le parlement du Land de MV discutera de l'avenir des crèches non contributives, des problèmes de financement et de l'amélioration de la qualité.

Crèches à MV : La fin de l'exonération des cotisations est-elle imminente ?

Le parlement du Land de Mecklembourg-Poméranie occidentale discute actuellement de la question de savoir si les crèches non contributives pourraient devenir un modèle de suppression progressive. Ce débat est façonné par le rapport du Bureau national d'audit et la situation financière tendue des communes. Le Bureau national d'audit suggère que l'État fournisse aux municipalités un soutien financier plus important afin de couvrir les coûts croissants des garderies non contributives. Les parents de Mecklembourg-Poméranie occidentale peuvent faire garder leurs enfants gratuitement dans des crèches depuis cinq ans, mais la charge financière ne cesse d'augmenter. En 2024, le coût total des crèches s'élèvera au chiffre impressionnant de 923 millions d'euros, dont 503 millions d'euros, soit 54,5 pour cent, seront pris en charge par l'État. Le reste revient aux communes et districts à hauteur de 420 millions d'euros. Ce rapport rapport de non-remise.

La coalition rouge-rouge-vert du Mecklembourg-Poméranie occidentale s'est engagée à garantir la gratuité des services de garde d'enfants, mais la CDU a exprimé ses inquiétudes. Les municipalités, en revanche, exigent davantage de soutien, car la hausse des coûts et la baisse des revenus exercent une pression sur les finances publiques. À partir de 2026, les fonds fédéraux ne pourront être utilisés que pour des améliorations qualitatives de l’accueil des enfants et non plus pour combler des déficits de financement généraux. Chaque année, les coûts augmentent d'environ 100 millions d'euros, ce qui complique encore la situation.

Coûts et défis du financement des garderies

Le Bureau national d'audit estime qu'une intervention réglementaire urgente du gouvernement est nécessaire afin de garantir la pérennité des services de garde d'enfants. La présidente Martina Johannsen critique le fait que les coûts des places sont déterminés à l'avance et qu'il n'est pas possible de réduire le financement en cas de mauvais résultats. Les dépenses consacrées à la garde d'enfants sont passées de 145 millions d'euros en 2012 à 580 millions d'euros, ce qui représente désormais 5 % du budget de l'État. L'État finance plus de la moitié des coûts de l'éducation de la petite enfance, mais n'a aucune influence sur le type de contrats conclus. Il y a du bruit ici Temps Il y a beaucoup de rattrapage à faire car il y a un manque de contrôle sur les fonds et la conclusion des contrats.

Les défis actuels se reflètent également dans la situation des soins. Bien que la prise en charge des enfants âgés de trois à six ans soit élevée, avec un taux de 94,5 pour cent, les choses ne sont pas aussi roses pour les enfants âgés de un à trois ans, avec un taux de 83 pour cent. Le taux de garde d'enfants en Mecklembourg-Poméranie occidentale est également l'un des pires de tout le pays : 1 pour 14. Ceci est critiqué par la Fondation Bertelsmann et exerce une pression supplémentaire sur les spécialistes existants dans les crèches.

Où mènent les changements ?

La maire de Rostock, Birgit Czarschka (SPD), appelle donc à une révision des crèches non contributives compte tenu des conditions financières modifiées. Un débat passionnant est en cours : les parents, représentés par Heiner Rebschläger, président du Conseil national des parents de Kita, sont en partie disposés à payer à nouveau des cotisations si la qualité des soins s'améliore. Cela montre que les habitants de la région sont disposés à investir dans l'éducation de leurs enfants, à condition que cela s'améliore.

Le débat sur la structure financière indique également clairement que la qualité de l’éducation de la petite enfance ne peut pas être réduite uniquement aux coûts. L'Allemagne est bruyante Éducateur.de un total de 18,4 milliards d'euros pour l'éducation de la petite enfance, ce qui correspond à 0,7 pour cent du produit national brut. Toutefois, les experts exigent que l'accès gratuit à l'éducation préscolaire soit assuré à long terme, même si la qualité des soins ne doit pas être négligée.